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ELLE
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Je continuerai de me souvenir d'elle, toujours
Cette femme qui m'a comblé d'amour
Dont les yeux verts et pures
Feront que mes sentiments envers elle durent et durent
<o:p> </o:p>Cette femme, avec le sourire qui ranime
Qui embellit, enchante et ruisselle
Avec ses cheveux qui ondulent
Sur mon univers enclavé
<o:p> </o:p>Elle, dont le corps bien sculpté
Avec tant de délicatesse et de volupté
Le souvenir de sa douce voix
Réchauffe mon cœur, et me fait oublier mon désarroi
<o:p> </o:p>Dans mes rêves encore,
Sur sa douce peau promènent mes doigts
Ma langue savoure avec tant d'amour
Ses lèvres, ses seins, son cou et ses doigts
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Mes pensées vagabondent au gré des vibrations,
Je regarde défiler de beaux paysages,
Le train m'emmène vers une certaine direction,
Des souvenirs me rappellent son visage...
La nostalgie me guette, il faut que cela cesse...
Je vois son sourire qui m'illuminait,
Elle avait tant de prestance, tant de charme,
Que je lui composerais bien un sonnet,
Il faut que je cesse, il me vient des larmes,
La nostalgie me guette, comme une douce caresse...
Elle avait une telle façon de me regarder,
Penchant sa tête légèrement de côté,
Elle aimait, avec moi, tant bavarder,
Dans son oreille, mots doux, j'ai chuchoté,
La nostalgie me guette, il faut que renaisse...
Ses lèvres carmin me laissaient un goût amer,
Ses yeux chantaient avec foi son idéalisme,
Avec elle, je me serais jeté nu dans la mer,
Notre amour était proche du surréalisme,
La nostalgie me guette, où est ma princesse ?
Nos corps enlacés fusionnaient en un seul,
Je regardais ses pupilles doucement se dilater,
Restons ensemble, posons un linceul,
Chez toi, tout est vrai, rien de frelaté,
La nostalgie me guette, il faut que je progresse...
Puis un jour, sans un mot, elle est partie,
Comme un enfant perdu, j'ai protesté,
Pourquoi ? Ce départ m'a anéanti.
Quelque soit sa raison, je ne peux la contester,
La nostalgie me guette, je vais me noyer dans l'ivresse,
Sœurs de la nostalgie et de la mélancolie,
Quand finirez-vous par me laisser tranquille ?
Laissez-moi boire ma tristesse jusqu'à la lie,
Que je me souvienne de cette beauté qui se maquille...
1 commentaire -
Encore un de ces soirs où je n'entends que les pleures de mon coeur, je ne trouve que cette machine à qui raconter mes malheurs!
Voilà plus que 2 mois que j'ai pas reconté mon amour, et que je sens encore sa présence très forte en Moi. Elle ne me quitte pas, même si parfois j'essaye en chantant avec les autres leurs chansons pastorales, et que meme si Brel insistait que je chante sa chanson, je me retiens à ce que ma "vie" continue sans mélodie ni musique, sans chant ni danse, sans poésie ni rêve, sans voeux ni ambitions, sans amour sans amour.
J'ai beau essayé de me faire comprendre que c'est bien fini, mais peut on empêcher le soleil de se lever chaque matin?
Je pense vraiment à elle, à ces moment de bonheur qu'on a vécu, à ces verres qu'on a bu ensemble, à ces rires qui faisaient éternuer nos coeurs, à ces larmes qui purifiaient notre amour, à ces fantasmes qui faisaient jallir la vie dans nos corps.. je n'arrête pas de penser à Elle.
Je l'aime vraiment énorment.. Tant pis, j'en meurs doucement
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