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Dans une ambiance virtuelle mais tendre et douce, nous continuons à alimenter le feu de notre amour.. ce feu qui éclairait nos longues nuits, et réchauffe nos coeurs. je l'aimais vraiment, comme je l'aime encore..
J'adorais son rire et sa petite voix douce, ses yeux avec une verdure d'un printemps éternel, sa chevelure dorée et ondulée qui me faisait penser aux rayons solaires qui caressent son beau visage angélique.
La première fois que je l'ai vu sur une photo, son regard m'a beaucoup impressionné ; il était à la fois dur, rêveur, confiant et tendre.
Je hâtais les jours pour venir lui parler, on jasait beaucoup sur n'importe quel sujet. Le fait qu'elle supportait mes folles idées et mes floues pensées, m'encourageait davantage à lui dévoiler tous mes secrets. Je peux dire que comme j'étais en état d'hypnose sous l'effet de ses charmes.
Bien que j'étais toujours occupé par le travail et d'autres activités, j'avais toujours le temps pour moi et elle. C'était mon temps favori : être avec elle.
Même si j'essayerai de parler de quelques souvenirs, je saurai pas le quel choisir, tout était merveilleux en sa compagnie.
Je garde encore un de ses beaux cadeaux qu'elle m'avait offerte à l'occasion de mon 34 anniversaire : un clown extraordinaire.
Je dois dire que chacun de nous a fait de son mieux pour faire plaisir à l'autre, pour l'aimer. On laissait tout pour venir sur le net. Nos rendez vous étaient sacrés. Si l'un de nous avait des vacances c'est avec l'autre qu'il les passe. Nos week ends étaient les nôtres. Nos fêtes étaient communes... et nos malheurs aussi, tout était à partager.
Nos cœurs palpitaient dés quand on voit l'autre arrivé. Et nos corps s'enflammaient avec chaque mot d'amour, s'excitaient à chaque regards... je la désire toujours !
Elle est la plus belle de toutes les femmes, la merveilleuse, la tendre, l'unique amour... à suivre
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Ginette Reno
La vie
La vie c'est fait de tout c'est fait de rien c'est la chanson du quotidien
C'est un sourire ou une larme
La vie c'est un oiseau qui monte au ciel c'est un orage un arc-en-ciel
Des yeux d'enfants qui vous désarment
La vie c'est la montée d'un long chemin a faire à deux main dans la main
Jusqu'au grand soir où tout s'enflamme
La vie c'est l'inconnu du lendemain c'est le passé qui vous revient
Comme un regret de vieille dame
Ma vie à moi je l'ai vécu comme j'ai voulu je l'ai choisi n'en parlons plus
Je prends mes erreurs sans partage
Ma vie à moi c'est un combat que j'ai mené et si Dieu veut me pardonner
J'irai plus haut que les nuages
Ma vie c'est la recherche du bonheur c'est le pire et c'est le meilleur
Un roman qu'il faudra écrire
Ma vie c'est un reflet dans le miroir qui est heureux de me revoir
Encore capable de séduire
Ma vie à moi je l'ai vécu comme j'ai voulu je l'ai choisi n'en parlons plus
Je prends mes erreurs sans partage
Ma vie à moi c'est un combat que j'ai mené et si Dieu veut me pardonner
J'irai plus haut que les nuages
Ma vie à moi c'est un combat que j'ai mené et si Dieu veut me pardonner
J'irai plus haut que les nuages
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Ainsi, nous créons sur la toile notre alcove que nous appelions: Natmo. Difficile de tout relater ,sur un petit texte, tous les mots qu'on a écrit, qu'on a dit, et que si on a relier lettre par lettre on aurait pu créer un pont solide qui relierait l'afrique et l'amerique... En effet, ces mots qu'on avait dit durant plus de 5 ans nous ont bien aidé à créer un nouvel univers juste à nous deux! un univers doux, chaud, relaxant, tendre et passionant...
Même loin dans la réalité, on était trop attaché l'un à l'autre, deux ames en une! c'était toujours le bonheur, et je commençais déjà à croire à ce que je pensais une évidence: toi ou personne, avec toi ou jamais!
j'inventais pas mes mots, c'est dont je croyais vraiment.. peut être que mon plus grand défaut est d'être trop confiant de moi même! pour moi rien ne pourrait me changer de convictions, et même le temps ne peut pas user de cet amour noble et pur...à suivre
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Virtuel
Seul me voici face à mon écran
Deux clic trois codes et c'est parti
Mon pseudo s'affiche en entrant
Me voici connecté, à l'hallali...
Pauvre de nous sur les chats enflammés
Amour virtuelle webcamée
Exit le contact des cœurs des corps
Pour aimer vive le clavier
Voici l'ère du net, le progrès encor
Pour ordi asexué
Pauvre de nous sur les chats enflammés
Amour virtuelle webcamée
Ou sont passés les instants passionnant
Lorsque faisant la cour la peur nous prenait ?
Peur de déplaire à l'être aimé
Jusqu'à la délivrance d'un baiser enivrant
Pauvre de nous sur les chats enflammés
Amour virtuelle webcamée
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